L'Australie accueille l'exercice Malabar pour la première fois
La 27e édition de l'exercice Malabar s'est conclue sur la côte est de l'Australie, au large de Sydney, le lundi 21 août 2023, marquant ainsi un autre chapitre réussi en matière de coopération maritime multilatérale entre l'Inde, les États-Unis, le Japon et l'Australie.
C'était la première fois que l'exercice était accueilli par l'Australie, qui a rejoint l'exercice Malabar en 2020. L'édition précédente de l'exercice avait été accueillie par le Japon en novembre 2022.
L'exercice Malabar 2023 a vu la participation de navires, de sous-marins et d'avions de la marine indienne (IN), de la marine royale australienne (RAN), de la force maritime d'autodéfense japonaise (JMSDF) et de la marine américaine (USN). Il s'est déroulé en deux phases, comprenant une phase en port du 11 au 15 août 2023 et une phase en mer du 16 au 21 août 2023.
Voici quelques moments forts de l'exercice Malabar :
1. La marine indienne était représentée par le destroyer INS Kolkata, la frégate INS Sahyadri et l'avion de patrouille maritime P8I.
2. D'autres unités participantes comprenaient les navires RAN HMAS Choules et HMAS Brisbane, l'USS Raphael Peralta, le JS Shiranui, ainsi que des sous-marins, des avions de chasse, des avions de patrouille maritime et des hélicoptères embarqués, selon le ministère indien de la Défense.
3. Alors que les navires appareillaient pour la phase en mer à partir du port de Sydney, les moyens aériens opéraient depuis la base aérienne RAAF d'Amberley Brisbane, où les équipages P-8I de l'IN, de la RAAF et des États-Unis étaient stationnés.
4. La phase en mer de l'exercice Malabar a été le théâtre d'exercices complexes et intensifs dans les domaines aérien, maritime et sous-marin, de tirs d'armes et d'opérations de transfert d'hélicoptères.
5. Les exercices conjoints en mer ont perfectionné les compétences de combat et renforcé l'interopérabilité entre les quatre marines pour mener des opérations maritimes avancées. L'intégration fluide des moyens aériens a également montré la coordination et l'interopérabilité exceptionnelles entre les unités aériennes de patrouille maritime indiennes, australiennes et américaines.
Selon le ministère de la Défense, l'exercice a non seulement confirmé la capacité des quatre marines à opérer ensemble en tant que force intégrée, mais a également souligné leur engagement commun envers la sécurité maritime et la stabilité régionale par le biais de la formation collaborative et de la compréhension mutuelle.
À l'issue de cinq jours d'exercices multifacettes, l'exercice Malabar a illustré de manière éclatante la coopération solide, les valeurs communes et la capacité collective des quatre nations participantes à garantir un Indo-Pacifique libre, ouvert et inclusif, promouvant la paix et la sécurité pour tous, a ajouté le ministère de la Défense.
La série d'exercices maritimes Malabar a commencé en 1992 en tant qu'exercice bilatéral entre la marine indienne et la marine américaine, et a pris de l'importance au fil des ans en incluant quatre marines de premier plan dans la région de l'Indo-Pacifique. L'édition 2020 a vu la participation inaugurale de la marine royale australienne (RAN).
C'était la première fois que l'exercice était accueilli par l'Australie, qui a rejoint l'exercice Malabar en 2020. L'édition précédente de l'exercice avait été accueillie par le Japon en novembre 2022.
L'exercice Malabar 2023 a vu la participation de navires, de sous-marins et d'avions de la marine indienne (IN), de la marine royale australienne (RAN), de la force maritime d'autodéfense japonaise (JMSDF) et de la marine américaine (USN). Il s'est déroulé en deux phases, comprenant une phase en port du 11 au 15 août 2023 et une phase en mer du 16 au 21 août 2023.
Voici quelques moments forts de l'exercice Malabar :
1. La marine indienne était représentée par le destroyer INS Kolkata, la frégate INS Sahyadri et l'avion de patrouille maritime P8I.
2. D'autres unités participantes comprenaient les navires RAN HMAS Choules et HMAS Brisbane, l'USS Raphael Peralta, le JS Shiranui, ainsi que des sous-marins, des avions de chasse, des avions de patrouille maritime et des hélicoptères embarqués, selon le ministère indien de la Défense.
3. Alors que les navires appareillaient pour la phase en mer à partir du port de Sydney, les moyens aériens opéraient depuis la base aérienne RAAF d'Amberley Brisbane, où les équipages P-8I de l'IN, de la RAAF et des États-Unis étaient stationnés.
4. La phase en mer de l'exercice Malabar a été le théâtre d'exercices complexes et intensifs dans les domaines aérien, maritime et sous-marin, de tirs d'armes et d'opérations de transfert d'hélicoptères.
5. Les exercices conjoints en mer ont perfectionné les compétences de combat et renforcé l'interopérabilité entre les quatre marines pour mener des opérations maritimes avancées. L'intégration fluide des moyens aériens a également montré la coordination et l'interopérabilité exceptionnelles entre les unités aériennes de patrouille maritime indiennes, australiennes et américaines.
Selon le ministère de la Défense, l'exercice a non seulement confirmé la capacité des quatre marines à opérer ensemble en tant que force intégrée, mais a également souligné leur engagement commun envers la sécurité maritime et la stabilité régionale par le biais de la formation collaborative et de la compréhension mutuelle.
À l'issue de cinq jours d'exercices multifacettes, l'exercice Malabar a illustré de manière éclatante la coopération solide, les valeurs communes et la capacité collective des quatre nations participantes à garantir un Indo-Pacifique libre, ouvert et inclusif, promouvant la paix et la sécurité pour tous, a ajouté le ministère de la Défense.
La série d'exercices maritimes Malabar a commencé en 1992 en tant qu'exercice bilatéral entre la marine indienne et la marine américaine, et a pris de l'importance au fil des ans en incluant quatre marines de premier plan dans la région de l'Indo-Pacifique. L'édition 2020 a vu la participation inaugurale de la marine royale australienne (RAN).